A l'occasion de sa promo pour son passage aux Francos, Véronique Sanson raconte cette étonnante histoire dans l'Express :

 

Pendant l'année d'Allah [1988], lors d'un concert à Toulouse, je crois, malgré un sacré service de sécurité, un militaire à la retraite a réussi à passer un flingue dans ses chaussettes. A un moment, il l'a sorti, la foule s'est écartée, et la sécurité l'a heureusement arrêté. Il avait une lettre sur lui dans laquelle il disait: "Si tu ne pars pas avec moi dans cette vie, tu me suivras dans l'autre...." 
 

Rappelons aussi à Véronique son pathétique attentat musical où pas très claire dans sa tête, elle clama son envie de chier et de péter devant un Copé hilare et gêné. On se demande ce qui est le pire.

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